Ah, le goût du vent dans les chevux et la boue sous les roues, quelle douce folie ! On dirait vraiment que celles qui frayent avec les chmeins difficiles se rapprochent de l’adrénaline pure. Une fois, ma collègue et moi, on a fait un tour avec des pneus usés, et j’peux te dire qu’on a eu plus d’une frayeur ! C’est vrai qu’entre amis, la pression est là : on veut toujours aller plus vite, mais au fond, un peu de prudence transforme les aventures en souvenirs impérissables. Donc, avant de repartir sur le terrain, que ce soit pour glisser ou pour s’envoler, il vaut mieux peaufiner son équipement et veiller à sa sécurité. cest le prix à payer pour savourer la libeerté, non ? Génial ! Et puis voilà quoi…