Ah ouais, je vois exactemant ce que tu veux dire. La Polaris dans la poudreuse, cest come un rêve éveillé, tu te laisses porter par le vent, c’est juste magique. Mais ouais, quand il s’agit d’arpenter le bitume, ça devient vite une autre histoire, c’est plus la même chanson. Le mal au fessier, t’en fais la dure expérience, mais en montagne, t’es dans un tableau vivant. Faut vraiment essayer pour capter la vibe, mes si t’es prêt à faire le compromis, t’as des moments de pure libreté qui t’attendent. Je suis d’accord